Comment puis-je ajuster les 4C du marketing pour les intégrer efficacement dans ma stratégie commerciale et ainsi optimiser les performances de mon entreprise ?
Salut Aryan,
C'est intéressant comme question. Quand tu parles de "Commodité", tu veux dire la facilité d'achat, l'accessibilité des produits, c'est bien ça ? Et pour la "Communication", tu vises quels canaux en particulier ? Genre, réseaux sociaux, email, autre ? J'imagine que la réponse dépend pas mal du secteur d'activité...
Exact, Asterix. Pour "Commodité", je pense surtout à la simplicité du parcours client, que ce soit en ligne ou en magasin. Moins il y a de frictions, mieux c'est. On regarde les taux d'abandon de panier, les retours clients sur l'ergonomie du site, etc.
Et pour la "Communication", on utilise un peu tous les canaux, mais on essaie d'adapter le message à chaque plateforme. Par exemple, on va pas faire le même type de post sur LinkedIn et sur Insta. On teste pas mal de choses avec des A/B tests pour voir ce qui résonne le mieux avec notre audience cible. J'espère que ça clarifie un peu !
Si vous voulez vraiment mesurer l'impact de la 'Commodité', je vous conseille de mettre en place un système de feedback client ultra simple après chaque achat. Genre, un petit sondage avec une seule question "Est-cequevousaveztrouvéfaciledecommander?" et une échelle de 1 à 5. Ça donne une idée rapide et ça permet de réagir vite si y'a un souci. 🤔
Pour la communication, en plus des A/B tests (très bonne idée 👍), essayez de segmenter votre audience au max. Plus vos messages sont personnalisés, plus ils auront d'impact. Vous pouvez utiliser des outils de CRM pour ça. 😉
Hello !
Un truc qui marche bien pour la commodité, c'est d'intégrer des options de paiement hyper rapides genre Apple Pay ou Google Pay. Ça réduit les frictions au max et ça peut vraiment faire grimper les conversions. 🚀
Et pour la communication, j'ajouterais de pas négliger les micro-influenceurs. Ils ont souvent une audience plus engagée et ciblée que les gros comptes, et ça peut être un bon moyen de toucher des niches spécifiques. 😉
L'histoire des micro-influenceurs, c'est pas bête DesignDojo 🤔. C'est vrai qu'on a tendance à viser les gros poissons, mais souvent, l'engagement est pas au rendez-vous. J'ai lu une étude (je crois que c'était chez Nielsen) qui disait que les campagnes avec des micro-influenceurs avaient un taux d'engagement jusqu'à 7 fois supérieur aux campagnes classiques avec des célébrités. 🤯 C'est fou, non ?
En gros, au lieu de payer une fortune pour toucher un max de monde, tu peux avoir un meilleur retour sur investissement en misant sur des mecs qui ont une audience plus réduite mais super qualifiée et qui font confiance à leurs recommandations. C'est un peu comme la différence entre arroser un champ au jet d'eau et faire de l'irrigation au goutte-à-goutte : tu utilises moins de ressources mais c'est plus efficace. 💧
Après, faut pas non plus tomber dans le piège de croire que c'est la solution miracle. Faut bien choisir ses micro-influenceurs, vérifier que leur audience correspond à ta cible et que leurs valeurs sont en phase avec ta marque. C'est un boulot de sourcing et de vérification, mais ça vaut le coup si ça permet de toucher les bonnes personnes avec le bon message. Et puis, ça permet aussi de diversifier sa communication et de sortir des sentiers battus, ce qui est toujours une bonne chose. 😉
ZugBeobachter, excellente analogie avec l'irrigation au goutte-à-goutte ! 💧 C'est tellement vrai que la qualité prime sur la quantité, surtout avec les micro-influenceurs. Faut juste pas se planter dans le choix, sinon c'est l'effet inverse assuré. 😎
Complètement d'accord Lucas2, le choix est déterminant. J'ajouterais qu'il faut aussi bien regarder le taux d'engagement *réel* (commentaires, partages...) et pas juste le nombre de followers. Certains achètent des abonnés, donc le chiffre peut être trompeur. Une petite analyse des commentaires sous leurs posts peut donner une bonne indication sur l'authenticité de leur audience.
Moui enfin, le taux d'engagement c'est bien joli, mais faut voir si ça se traduit en ventes derrière. On peut avoir tous les commentaires du monde, si personne n'achète, c'est pas terrible. Faut pas se focaliser que sur les likes et les partages, quoi. Le ROI, c'est quand même ce qui compte à la fin, non ?
ThreadRider2 a raison, on est pas là pour collectionner les likes. 😅 Le ROI, c'est le nerf de la guerre. Faut tracker les ventes et voir si ces micro-influenceurs convertissent. Sinon, autant faire de la pub Adwords, au moins tu sais où va ton argent. 💰
Clairement, Aryan Gupta, tu marques un point. Le ROI, c'est *the* bottom line. Ceci dit, je pense qu'il y a un juste milieu. C'est pas soit les likes, soit le ROI, c'est les deux mon capitaine ! 👀
Si on se penche sur les chiffres, selon une étude de HubSpot, les entreprises qui alignent leurs efforts de marketing d'influence avec leur stratégie de contenu ont un ROI 11 fois supérieur à celles qui ne le font pas. On parle bien de ROI ici, pas juste de likes. Le truc, c'est que l'engagement (commentaires, partages, etc.) est un indicateur *précoce* de l'intérêt. Si t'as zéro engagement, y'a peu de chances que ça convertisse derrière. C'est comme si tu lançais une campagne de pub et que personne ne cliquait sur ton annonce : tu te dirais qu'il y a un souci, non ?
Donc, pour moi, la bonne approche, c'est de tracker à la fois l'engagement (pour voir si t'es sur la bonne voie) et le ROI (pour valider que ça rapporte). Et là, faut pas hésiter à utiliser des outils d'attribution pour voir quels influenceurs génèrent le plus de ventes ou de leads. Y'a des plateformes comme Upfluence ou Traackr qui font ça très bien. En gros, tu relies les ventes à l'influenceur qui a généré le trafic, et tu peux calculer ton ROI au centime près. C'est un peu plus compliqué que de regarder le nombre de likes, mais c'est beaucoup plus pertinent.
Et puis, faut pas oublier que l'influence, c'est pas juste de la vente directe. Ça peut aussi jouer sur la notoriété de la marque, sur la fidélisation client, etc. Des métriques plus difficiles à quantifier mais qui ont un impact sur le long terme. Donc, faut avoir une vision globale et pas se focaliser uniquement sur le chiffre d'affaires immédiat. 💰
Bref, mesurer, analyser, ajuster. La base, quoi.
Commentaires (10)
Salut Aryan, C'est intéressant comme question. Quand tu parles de "Commodité", tu veux dire la facilité d'achat, l'accessibilité des produits, c'est bien ça ? Et pour la "Communication", tu vises quels canaux en particulier ? Genre, réseaux sociaux, email, autre ? J'imagine que la réponse dépend pas mal du secteur d'activité...
Exact, Asterix. Pour "Commodité", je pense surtout à la simplicité du parcours client, que ce soit en ligne ou en magasin. Moins il y a de frictions, mieux c'est. On regarde les taux d'abandon de panier, les retours clients sur l'ergonomie du site, etc. Et pour la "Communication", on utilise un peu tous les canaux, mais on essaie d'adapter le message à chaque plateforme. Par exemple, on va pas faire le même type de post sur LinkedIn et sur Insta. On teste pas mal de choses avec des A/B tests pour voir ce qui résonne le mieux avec notre audience cible. J'espère que ça clarifie un peu !
Si vous voulez vraiment mesurer l'impact de la 'Commodité', je vous conseille de mettre en place un système de feedback client ultra simple après chaque achat. Genre, un petit sondage avec une seule question "Est-cequevousaveztrouvéfaciledecommander?" et une échelle de 1 à 5. Ça donne une idée rapide et ça permet de réagir vite si y'a un souci. 🤔 Pour la communication, en plus des A/B tests (très bonne idée 👍), essayez de segmenter votre audience au max. Plus vos messages sont personnalisés, plus ils auront d'impact. Vous pouvez utiliser des outils de CRM pour ça. 😉
Hello ! Un truc qui marche bien pour la commodité, c'est d'intégrer des options de paiement hyper rapides genre Apple Pay ou Google Pay. Ça réduit les frictions au max et ça peut vraiment faire grimper les conversions. 🚀 Et pour la communication, j'ajouterais de pas négliger les micro-influenceurs. Ils ont souvent une audience plus engagée et ciblée que les gros comptes, et ça peut être un bon moyen de toucher des niches spécifiques. 😉
L'histoire des micro-influenceurs, c'est pas bête DesignDojo 🤔. C'est vrai qu'on a tendance à viser les gros poissons, mais souvent, l'engagement est pas au rendez-vous. J'ai lu une étude (je crois que c'était chez Nielsen) qui disait que les campagnes avec des micro-influenceurs avaient un taux d'engagement jusqu'à 7 fois supérieur aux campagnes classiques avec des célébrités. 🤯 C'est fou, non ? En gros, au lieu de payer une fortune pour toucher un max de monde, tu peux avoir un meilleur retour sur investissement en misant sur des mecs qui ont une audience plus réduite mais super qualifiée et qui font confiance à leurs recommandations. C'est un peu comme la différence entre arroser un champ au jet d'eau et faire de l'irrigation au goutte-à-goutte : tu utilises moins de ressources mais c'est plus efficace. 💧 Après, faut pas non plus tomber dans le piège de croire que c'est la solution miracle. Faut bien choisir ses micro-influenceurs, vérifier que leur audience correspond à ta cible et que leurs valeurs sont en phase avec ta marque. C'est un boulot de sourcing et de vérification, mais ça vaut le coup si ça permet de toucher les bonnes personnes avec le bon message. Et puis, ça permet aussi de diversifier sa communication et de sortir des sentiers battus, ce qui est toujours une bonne chose. 😉
ZugBeobachter, excellente analogie avec l'irrigation au goutte-à-goutte ! 💧 C'est tellement vrai que la qualité prime sur la quantité, surtout avec les micro-influenceurs. Faut juste pas se planter dans le choix, sinon c'est l'effet inverse assuré. 😎
Complètement d'accord Lucas2, le choix est déterminant. J'ajouterais qu'il faut aussi bien regarder le taux d'engagement *réel* (commentaires, partages...) et pas juste le nombre de followers. Certains achètent des abonnés, donc le chiffre peut être trompeur. Une petite analyse des commentaires sous leurs posts peut donner une bonne indication sur l'authenticité de leur audience.
Moui enfin, le taux d'engagement c'est bien joli, mais faut voir si ça se traduit en ventes derrière. On peut avoir tous les commentaires du monde, si personne n'achète, c'est pas terrible. Faut pas se focaliser que sur les likes et les partages, quoi. Le ROI, c'est quand même ce qui compte à la fin, non ?
ThreadRider2 a raison, on est pas là pour collectionner les likes. 😅 Le ROI, c'est le nerf de la guerre. Faut tracker les ventes et voir si ces micro-influenceurs convertissent. Sinon, autant faire de la pub Adwords, au moins tu sais où va ton argent. 💰
Clairement, Aryan Gupta, tu marques un point. Le ROI, c'est *the* bottom line. Ceci dit, je pense qu'il y a un juste milieu. C'est pas soit les likes, soit le ROI, c'est les deux mon capitaine ! 👀 Si on se penche sur les chiffres, selon une étude de HubSpot, les entreprises qui alignent leurs efforts de marketing d'influence avec leur stratégie de contenu ont un ROI 11 fois supérieur à celles qui ne le font pas. On parle bien de ROI ici, pas juste de likes. Le truc, c'est que l'engagement (commentaires, partages, etc.) est un indicateur *précoce* de l'intérêt. Si t'as zéro engagement, y'a peu de chances que ça convertisse derrière. C'est comme si tu lançais une campagne de pub et que personne ne cliquait sur ton annonce : tu te dirais qu'il y a un souci, non ? Donc, pour moi, la bonne approche, c'est de tracker à la fois l'engagement (pour voir si t'es sur la bonne voie) et le ROI (pour valider que ça rapporte). Et là, faut pas hésiter à utiliser des outils d'attribution pour voir quels influenceurs génèrent le plus de ventes ou de leads. Y'a des plateformes comme Upfluence ou Traackr qui font ça très bien. En gros, tu relies les ventes à l'influenceur qui a généré le trafic, et tu peux calculer ton ROI au centime près. C'est un peu plus compliqué que de regarder le nombre de likes, mais c'est beaucoup plus pertinent. Et puis, faut pas oublier que l'influence, c'est pas juste de la vente directe. Ça peut aussi jouer sur la notoriété de la marque, sur la fidélisation client, etc. Des métriques plus difficiles à quantifier mais qui ont un impact sur le long terme. Donc, faut avoir une vision globale et pas se focaliser uniquement sur le chiffre d'affaires immédiat. 💰 Bref, mesurer, analyser, ajuster. La base, quoi.